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Suite à la fermeture des activités économiques et, des lieux de cultes dûe au confinement, les fidèles musulmans n'avaient pas pu effectuer la grande prièrre au compte de la fête de Ramadan. Vu le constat de la déccélération du coronavirus mais aussi la chute du taux de contamination, le gouvernement guinéen a autorisé cette prièrre pour la fête de Tabaski. 

Nous somme à conakry, tout comme les autres quartiers de la ville ceux des allentours du camp Alpha Yaya Diallo se sont massivement mobiliser pour effectuer la prièrre. 

Dès 07h 30 ce matin du 31 juillet, des hommes en boubous et bonet, des femmes habillées en robe, jilbab et autres habits descents mais aussi des enfants bien entretenus pour l'occasion se sont précipités pour ralier le camp où se déroule habituellement la prièrre. 

Aux différentes rentrées dudit Camp, des militaires postés spécifiquement veillent au respect du port de masque et le lavage des mains qui prévalent sur les autres mesures barrièrres. Les yeux allant de gauche à droite, ces derniers cherchent des personnes n'ayant pas porté de masque afin de leur empêcher de franchir la porte pour la sécurité commune des fidèles. 

A tour de rôle, les fidèles s'orientent vers les seaux d'eau contenant de l'eau de javel pour se désinfecter. A ceux qui n'ont pas de masque de protection, les agent militaire repètent ceci : «si vous n'avez pas de bavette vous ne pourrez pas prier ici». Cathégoriquement ils le sont à ce niveau.

A l'intérieur du camp où se tient la prièrre, des centaines de personnes se dressent en une dizaine de files selon le respect des normes pour effectuer les deux rakats. Avant le debut de la prièrre, l'Imam arrêté devant la foule, micro en main fait sa prêche. Il invite les populations présentes à la fraternité, l'harmonie, qui sont parties intégrantes des principes islamiques selon ses propos. En outre, il réitère le respect des mesures barrières pour la sécurité de chacun et de tous. 

Après la prièrre, les fidèles se sont aussitôt précipités pour quitter les lieux en vu du respects des normes sanitaires édictées par le gouvernement. Peu ont été ceux qui ont attendus le sermon de fin et le depart du vertueux Imam. 

Après une telle réussite, le gouvernement se dévrait de penser à réouvrir les lieux de culte afin de permettre aux différents croyants de faire l'un de leurs devoirs envers Dieu qui est la prièrre. Cette propisition est faite par l'un d'entre eux qui souhaite avoir gain de cause.

El kamnt 

Après la fête de Ramadan qui a eu lieu le 27 mai, la communauté musulmane s'apprête à passer la fête de Tabaski prévue pour ce vendredi 31 juillet. Les préparatifs vont bon train pour les vendeurs et acheteurs et le marché de Matoto présente une image différente de celle de la fête précédente. 

Nous sommes dans la commune de matoto, plus précisement au marché. Il est 17h et le lieu grouille de monde. Hommes, femmes, enfants, y sont tous pour se faire des articles de fête. Contrairement à la fête du Ramadan qui est arrivée cette année alors que le Covid 19 battait son plein, c'est l'angouement total. Des étalagistes masque de protection au visage et placés ça et là donnent l'image d'une foire à plein temps.

Des vendeuses munies de micros enrégistreurs  répétant les mots qui suivent : «sali bara nadè konkon wo khadé samba sali dougui». Mots soussous qui veulent dire bientôt la fête acheter des habits pour vos enfants. Plusieurs articles inondent le marché. D'un autre coté, ce vendeur de chaussure, pris par le mouvement de ces clients tache de faire de son mieux pour controler la situation.

Chacun après avoir choisi la paire voulue, la lui remet avec le montant qu'elle coute et lui il la place dans un caoutchou pour le plaisir de la clientelle. Mécanicien de métier, Salifou Bangoura nous fait l'Etat des lieux : « Je suis venu achéter des chaussures pour ma famille car demain c'est la fête de Tabaski». Plastique noir en main et De protection suspendu à son coup, cet homme fustige la flambée des prix des différente marchandises. « les choses sont chères cette fois-ci, et cela ne nous est pas bon. Des chaussures qui se vendaient à 35,000 gnf aujourd'hui nous les achettons à 50,000 gnf».

Tout comme ce monsieur, nombreux sont ces personnes qui ne sont pas content de cette flambée. Couturière de profession, Nialen keita prise dans un embouteillage humain prévalent dans un couloir du marché, tente de se frayer un chemin pour sortir de là. Après l'avoir fait, elle s'arrête en bordure de route avec un éssouflement sueureux et se prête à notre micro. Elle dit : «les gens souffrent dans ce pays car le gouvernement peine à donner un prix fixe aux differentes marchandises et, par conséquent chaque vendeur le fixe soi-même».

Pour donner plus de fiabilité à ses affirmation, nous sommes aller à la rencontre d'un boucher du même marché. Assis dans son lieu de commerce, viande de beuf saignante suspendu à différents endoits, sache-mouche en main le pavillonant de gauche à droite, l'homme tente tant qu'il peut de chasser les mouche de sa marchandise. Il nous a fait savoir dans sont allocution que le bétaille coûte chaire en cette période de crise et donc il est tenu obligé de vendre le killo à 50,000gnf au lieu de 30,000gnf pour s'en sortir. Conscients de cette réalité, plusieurs de ses clients ont préféré tourner dos à la boucherie pour faire face à la ferme. Nous a-t-il décliner. 

Dialikatou sow est vendeuse  d'habits. Sur sa table, des robes, des pantalons, des bijoux et autres y sont eparpillés. Assise derriere sa table, sow tente tant bien que mal d'attirer des clients. A voix haute et avec un air optimiste, elle tend ses échantillons d'habits devant les passant. Elle affirme que la fête de tabaski s'annonce bien. Car, cette fois il y'a du monde à foison à ce marché et sa marchandise s'écoule plus facilement que lors de la fête de Ramadan. Selon elle, ce fait s'explique par la sortie du confinement qui empêchait les gens de fluidifier leurs business lors de la fête précédente. « lors de la fête de Ramadan l'Etat d'urgence sanitaire était en application strict, et les gens avaient peur de circuler».

Si la fête est pour certains un moment de réjouissance et de satifaction, d'autres en profite pour vendre diverses marcgandises pour subvenir aux besoins familiaux. 

El Kamnt 

Dans cette video retrouvez l'essentiel de ce qui s'est passé à l'ISIC le 14 fevrier 2020 au compte du lancement officiel du certificat en migration clandestine.

Chaque institution a ses caractères spéciaux. Pour l'ISIC de kountia, l'accueil des nouveaux étudiants en est un. Chaque année, la direction générale en collaboration avec les licences 3 journalisme et communication, organise un événement culturel, pour souhaiter la bienvenue aux étudiants qui y sont fraichement orientés. Cette année, l'accueil a eu lieu ce samedi 25 janvier. Notre redaction a été sur le terrain et vous propose ce compte rendu. 

C'est le mini stadium dudit Institut qui a servi de cadre à l'événement.Très tôt dans la matinée, la commission organisatrice l'a ralier pour effectuer les dernières installations. Dès 09h les festivités ont commencé. 

Après la visite guidée et l'installation des officiels, place au discours de la commission organisatrice. Par la voix de Aroso, elle a tenu à saluer les étudiants et le collectif présent avant de leurs faire part de quelques réglement de l'établissement. Et circonstanciellement elle (la commission organisatrice) a prevu une musique dans laquelle nous retiendrons "à l'ISIC vous accueillir est notre coutume".

Par la suite,  les étudiants de la licence 4 journalisme ont presenté un journal radiodiffusé en direct. Présenté en duo par Ibrahima Sory Camara et Mafoudia Traoré, ils ont parlé entre autres de la dernière manifestation du FNDC et des compagnes électorales des législatives du 16 fevrier prochain. Cette licence a également présenté un magazine qui relate l'historique et les activités isiquoises.

Puis nous assistons à la prestation artistique. Venus d'ailleurs comme Zebal traoré et Amatala, ou de l'interne comme les créateurs et Sentinel, ils ont fait bouger le public à bon souffle.

Plusieurs autres grandes personalité ont assisté à l'événement, à savoir le commandant de la gendarmerie de kountia, Mohamed Kouyaté. Dans son discours, il a d'abord remercié la commission organisatrice et, a en suite présenté sa brigade selon son hiérarchisation. Pour finir, il a jetter des fleurs à l'Institut avant de remercier le corps administratif pour la qualité de l'enseignement qui y est.

Dans sa prise de parole occasionnelle, la Directrice Générale, le Pr Djenab Barry a remercié le collectif des enseignants. Et a dit que, vive est l'Isic, futur centre de l'exellence dans les domaines du journalisme et de la communication dans la sous region.

L'accueil s'est achevé par un defilé de mode et la danse groupale des étudiants de la commission organisatrice. Important est de rappeler que l'accueil de cette année a été suivi d'un bal dans l'enceinte de l'établissement.

L'année prochaine sera t'elle mieux colorée, en tout genre, les nouveaux étudiants eux sont rentré contents après une telle fête. 

Kantexo

C'est ce mercredi 23 janvier 2020 que l'événement a eu lieu. Le conseiller pédagogique au nations unis, Diallo oumar Djogo, a effectué un deplacement sur le campus de l'Isic. Dans une salle à moitié pleine, les étudiants de l'Institut  dans une ambiance attentive  ont partager des connaissances avec l'homme. 

L'événement a commencé vers 12h précises. Très tôt les étudiants ont ralier l'amphi théatre pour écouter l'invité et partager avec lui. La DG, les deux DGEAE, les deux chef de departement et d'autres membre du personnel administratif ont été de la partie. A noter l'absence de certains dans les même sillages. Plusieurs journalistes y étaient. 

Au prime, c'est la DG, le Pr Djenab Barry qui a pris la parole. Elle dis, « malgré le faible nombre d'étudiant ici present, nombreux seront ceux qui seront informer à travers vous qui êtes présent», dit-elle pour orner les joyaux de l'Isic.

A bord, la parole est prise par le conseiller pédagogique. 

Dans son intervention, il a fait part de l'idée de la visite. Objectif : expliquer, commenter, et faire un flash des merites de la formation anglaise en ligne. Auusi, l'idée visait à presenter des offres aux profit des étudiants qui sont interessés. 

Après avoir fait une brève descriprion de ces experiences, il est rentré dans le vif du sujet. Selon ses explications, l'Amerique et, des internationales institutions, oeuvrent à soutenir l'emmergence anglaise dans les pays sub-sahariens.

Il s'agit d'une conquête vu que dans les institutions internationales le fonctionnent est selon l'anglais à la tête du classement. Toujours dans son intervention, il souligne que des cours d'anglais sont disponibles en ligne sous diverses versions. Gratuites, payantes et exessive de fois. 

Mais le soutien est que des reductions en sont possibles.

C'est à ce niveau qu'il a parlé du 'MOOCS', (Massive, Open,  Online, Courses), littéralement traduit en français par FLOT, (Formation en Ligne Ouverte à Tous).

Aussi, il a divulguer une proposition pour toute la jeunesse africaine  

«Grace à la coopération des Etats-unis et certaines organisarions internationales, des cours sont desormais disponibles en ligne. Chose faite pour faciler l'accès à l'information et aux connaissances pour tous. Dans cette partie il parle de nombreuses universités americaines qui forment de façon efficace. A savoir la renomée de Chicago», explique-t-il..

«Quand vous sortez de là, pas besoin d'un marabout pour avoir du travail. Malgré le frais élevé», rajoute-il..

Certains de ces cours sont accessibles soit gratuit ou a bas pris

Par exemple, les cours sur : l'intelligence artificielle, les structures, les composantes, les videos, la litterature ou, la combinaison de ces ensembles. Offerts en forum avec pour but de booster les compétences en anglais. Cela à travers des éveluations pour obtenir des attestations ou des diplomes. 

Avant de tirer la réverence de la rencontre, il a proposé aux étudiants un rendez-vous à la bibliothèque de l'ambassade americaine à l'université Général Lansana Conté de Sonfonya.

Kantexo

Vu le nombre massif des embouteillages ces derniers temps dans la capitale guinéenne Conakry, notre rédaction s'est rendue sur le terrain, et a tendu le micro à un policier pour obtenir des informations relatives.

Marvelguineenews : Qu'est que vous faites réellement pour lutter contre ces embouteillages ?

Policier : Nos chefs disent de rester discrets jusqu'à ce qu'eux-même décident de se prononcer

Est ce que l'Etat met des moyens à votre service pour vous aider à gerer ces embouteillages ?

Oui mais peu sont les moyens, nous citons entre autres : des casquettes, des sifflets, et de fois la CMIS nous épaule

Est ce que c'est l'Etat qui vous donne les tuyaux?

Non non ça se sont des moyens de bord pour ne casser aucune vitre 

Pourquoi à chaque fois il y'a l'embouteillage ici?

C'est parce que le pays est considéré comme pauvre, du coup, nous faisons un effort pour le caracteriser. C'est pourquoi certains chauffeurs nous disent que le mal est plus ou moins.

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez pendant ces embouteillages ?

Je crois qu'elles se situent à differents niveaux. 

- de fois on fait des demandes à certains conducteurs qui nous demandent si l'Etat ne nous prend pas en charge. Et pourtant l'homme qui vit doit vivre.

- quand certains chauffeurs sont interpellés pour infraction, ils nous grondent au point de se jetter sur nous.

- le soleil est ardent et la pluie nous trempe, mais bon on le fait avec.

- les motards quant à eux refusent de se munir de leurs documentation, chose qui nous pousse à les amenés à la fourière à tout moment

Un message pour le peuple ?

Ce que je peux dire aux citoyens, c'est de se comformer au civisme et aux normes démocratiques. Une fois que c'est ainsi, nous pourrons aisément travailler pour leur fluidifier la circulation.

photo de Instinct Killer fehanougbo

Le groupe Instinct Killer est un groupe de danse crée dans les années "90". Depuis sa création jusqu'à nos jours, il ne cesse de surprendre et de faire bouger le public mélomane guinéeen. Avec un passé coloré et riche en prix, ce groupe fait partie des meilleurs sur le continent en matière artistique. 

L'initiative de la création de ce groupe est venue de Fish-Killer de son vrai nom Ousmane Bangoura, et elle date de 1996. C'est en cette année que ce jeune, au parcours model s'est focalisé sur ses talents en danse mais aussi en musique, qui ont fait de lui une personne célèbre dans son quartier et à l'école, pour mettre en place un groupe vu qu'il  ne voulait évoluer tout seul.  

Cette ambition a nourrit le coup et a donné souffle à Instinct Killer qui, a d'ailleurs maintenu son pseudonyme du depart jusqu'à nos jours.

Instinct Killer est composé de plusieurs jeunes talentueux les uns comme les autres, flexibles et tous amoureux de la danse Hip-Hop, qui est une danse de chorégraphie extra-méditée et qui se prépare soigneusement.

Parmis les membres nous pouvons citer entre autres : Lil-Sakho, Fish-Killer, Zidane, Mixta-Frezz, prince et autres. Depuis sa création jusqu'en 2007, le groupe a remporté plusieurs trophées en rapport avec la danse. 

-en 2004, meilleur groupe de danse Hip-Hop en Guinée

-en 2005, meilleur groupe de danse battle qui a mis en confrontation les meilleurs groupe de danse du pays

-en 2006, meilleur groupe de danse Hip-Hop choc des fusions

-en 2006 également, meilleur groupe de danse Hip-Hop première édition break international au Sénégal

-en 2007, meilleur groupe de danse Hip-Hop édition battle break international Gorée Sénégal

-encore en 2007, meilleur groupe de danse Hip-Hop Djembé d'or.

Suite à tous ces exploits, les membres de Instinct Killer se sont consulter. Pour reunir les moyens néccessaires afin qu'ils puissent associer la danse à la musique. Ce, pour tenter chance, attirer encore plus de fan, mais aussi augmenter les chiffres d'affaires. 

C'est en ce moment que Fish-Killer et Lil-Sacko se sont transformés en chanteurs au nom du groupe, vu que les deux étaient doués sur ce tronc. 

Un essai qui a plutôt bien fonctionné

Déjà après quelques trois années de préparation, c'est à dire en 2011, le groupe ramasse à nouveaux de nombreux titres dont: la K7 d'or du meilleur clip, de la meilleure prestation scénique et du meilleur album intitulé __Hakril Diamane__, qui d'ailleurs est son premier album sur le marché musicale guinéen.  

Ce groupe a aussi participé à de nombreux compiles comme : "hommage aux victimes de Rogbanè", et aussi le morceau " relève toi fria" en 2014-2015, en collaboration avec Soul Bangs, Banlieuz'art, Bébé Baya, Singleton et tant d'autres.

Le parcours ne se limite pas à cet endroit

Instinct Killer est aussi auteur de l'album__Dounia__ composé de 20 morceaux dont parmi lesquels on a: "Gangter lover", " Mon bébé d'amour", "Chocona bombom", "Iyatiyakouyira", 

"IK story", etc.

Son dernier album dédicacé en 2019 est intitulé__Genre genre__, et est composé de 18 titres: " Marafanyi forcé mouna", "Jaloux", " Valeur", "Sciencer fa", " Genre genre acte 2" et autres. 

Le succès de ce groupe se traduit comme suit selon des sources proches, amour de la danse et de la musique, la créativité, le Hip-Hop, le courage, la connaissance des réalités guinéenne, également par la qualité de son entourage. 

Yankadi, Doundoumba, Toupoussèssè, reggea, ragga dancehall, Instinct Killer traine derrière lui un formidable palmarès. Et il peut être dit que les années prochaines nous montreront une autre couleur de ce groupe.

KANTEXO

Suite à la nouvelle décision de l'administration isicquoise parvenue cette année concernant la fusion des profils des deux differents départements, à savoir: le journalisme et la communication. Les étudiants en l3 Presse-écrite de l'année dernière ont commencé ce mardi 12 novembre la pratique des ficèles de l'Audiovisuel. 

Il est 10h et nous sommes dans la cours de l'ISIC, un environnement tranquille y reigne, et on voit de part et d'autre defiler des étudiants en orientation vers la  bibliothèque ou l'emphi-théâtre. Pendant ce temps,  d'autres suivent tranquillement les cours dans les differentes salles de classes. Les étudiants de la l4 journalisme quant à eux, ont tous été deployés sur le jardin dudit Institut dans le cadre du cours de montage vidéos.

 La chargée du cours explique les raisons de cette descente massive, « je  suis ici ce matin pour montrer aux étudiants de la Presse-écrite, les differents plans en prise de vue, parce qu'ils n'ont pas eu l'opportunité de suivre ce cours de montage vidéo l'année passée,

vu qu'il n'etaient pas avec ceux de l'Audiovisuel. Alors sachant qu'ils ne peuvent pas faire le montage sans connaitre au préalable les valeurs des plans, j'ai décidé de leur envoyer sur le terrain avant de retourner en classe. Donc à l'issue de  cette pratique, ils auront une maitrise parfaite de la camera », explique-t-elle. 

Après quatorze ans à la tête de cet institut, le directeur général Dr Bangaly Camara s'est vu demit de ses fonctions, pour faire place au Pr Djenab Barry. C'est arrivé suite à un décret ministeriel qui est parvenu suite à des raisons d'authenticité de documents. Et cette décision n'a pas laissé indifferents les étudiants des differents departements.

Cet décret du ministère de l'enseignement supérieur et de la récherche scientifique, (mesrs), a activé le choc chez les amis, proches, anciens étudiants et étudiants dudit directeur. Et a également fait couler de l'encre et de la salive dans les medias de la place.

Au micro de Marvelguineenews.com, cet étudiant en licence 4 journalisme Facinet Camara s'est exprimé, « je pense que Dr Bangaly a fait beaucoup de choses pour cet établissement en ce qui concerne sa rigueur et sa disponibilité a écouté ses étudiants. Chose qui a fait qu'en 2017 l'ISIC à été élu meilleur Institut de la Guinée en rapportant une prime de près de 20 millions au DG sortant. Mais vu la continuité de l'Etat, c'est ce qui fait qu'il a été remplacé si non à mon avis il pouvait encore mieux faire», affirme-t-il.

Cet étudiant estime juste la décision du haut lieu de l'éducation guinéenne. Parrallèlement, il exhorte le directeur sortant à ne pas arrêter la roue qui tourne suite à cette décision du ministère. Car, selon lui, cet homme est plein de compétences, et a une vision prolongée pour l'emmergence du journalisme et de la communication en Guinée.

Il termine son allocution en lançant des appels à l'endroit de la directrice entrante, « j'attire l'attention de la nouvelle directrice Pr Djenab Barry à continuer sur la même lancée que Dr Bangaly.

C'est à dire en oeuvrant dans le sens de la vulgarisation de l'ISIC, et en assurant la bonne formation des encadreurs et des étudiants de l'établissement», conclut-il.

Cette autre  étudiante en l4 communication du nom de Mafoudia traoré a d'abord dénoncé l'attitude de certains étudiants qui seraient contents de la destitution de Dr Bangaly Camara. Et a ensuite exprimé ses appréciations sur la pédagogie, la rigueur et le professionnalisme de l'homme. 

Si avant Bangaly Camara était directeur général et en même temps enseignant de l'ISIC, désormais il évoluera avec seulement le statut d'enseignant, nous a confié un étudiant en L3 communication.

Reste à savoir si le Pr Djenab Barry suivra le même canal que celui laissé par Dr Bangaly Camara.

KANTEXO

On crie on brûle tout parce qu'on veut toucher à des choses à la cour 

Pourquoi avoir laisser tous les autres jours et choisir cet autre jour ?

Et il est de toutes les voix que la democratie ce carracterise par des tours

Et bien dites vous que ce n'est pas la peine d'être en contre avec celui qui est contre ou pour 

Selon que c'est comme ça que ça se passe même à Singa-poor 

Si tu te contentes du droit tu observeras que chacun veux dans ses domaines être et au même lieu rester cool 

Ces lignes sont conçues pour conduire et non pour nuir 

Entre civiles et policiers je me demande à l'heure qui est de ce pas le plus apte à fuir 

Trop de conflits comme s'il n'y avait que ça à servir 

Je prends mon bic et je laisse tracer la vie du pays qui est en crise 

Aller sur la table et en debattre semble plutot facile 

Mais accepter d'être confronter à sa decision est souvent synonyme de nivaquine 

Alors que dans certaines circonstances le martyr fait couler des larmes en famille

Pourtant plusieurs en parlent et conçoivent aussi des lignes

Mais le rendu n'est tout de même pas defavorable et souvent non palpable

Ce qui fait que certains en on prit pour en faire une chanson pensez à Jean de la fontaine fable 

Entre grénouille et singe certains confondent la rivalité à la fatalité 

Trop domage pour le frère à l'histoire africaine trop profonde de sagacité 

Et d'images d'égypte quelques fois pas bien verifiées

Revenons à nous même et banissons l'ethnocentrisme

Qui est source la même qui rempli la piscine des homme politiques 

Certains eux préfèrent lever les mains et rester centrique 

Voilà donc un acte qui se veut politique

Lors de l'interview il se confie et dit que nous ne devons filmer une Afrique developpée mais une belle Afrique avec une dose importante de citoyenneté.

#EMCK